Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

THE TEARS OF THE POOR

THE TEARS OF THE POOR
Pages
11 août 2012

No little job

 No little job

 

Little brother, there is no little job.

I trust, just like the hard worker Bob,

That we are all called to some works.

Let me confess, any time, after job, I walk,

I am always satisfied, for it has been well-done.

Little dear sister there is no little job.

Just like that holy man in the Book, Job,

I trust and believe that we must all fight,

To get closer and bring others to the Light.

It is unhelpful to stay lazy here on earth,

For there is for humanity enough wealth.

Living being is a working being, it is a must,

For we are all going back to the dust.

There is no little job on earth, rather

Everybody must strive a bit harder.

Anything good one does to be better

Is the only job that lifts one higher.

What I say here today is inspired,

Not just written as I have desired.

Only Working Being is a living Being

For we are all co-creators without King.

 

 

Publicité
11 août 2012

bebe

Bébé !

 

Douce et tendre mère

Qui épousa un tel père.

Fraiche et jeune maman

Si fière de son Premier enfant.

Voici enfin arrivée le jour attendu,

Ou tout climat semble détendu,

Pour accueillir petit détenu,

Et lui souhaiter la bienvenue.

La petite créature voyait ainsi le jour,

Pénétrant ainsi dans la grande cours.

Toute heureuse, suante elle rayonnait.

Languissante, fatiguée, elle souriait,

Ecoutant cette fine voix qui hurlait.

Comble de bonheur, belle vie,

Nombreuses comme elles en ont envie.

L’arbre humain venait de produire son fruit

Et cette liesse en nous, a luit.

Tant de peine, de larme délivrant la créature,

Un plaisir responsable devenu mature.

Son regard aux yeux fermes a l’air câlin,

Et l’on se bat pour lui créer un climat sain.

 

Que sera demain cet innocent petit saint,

Qui pourrait devenir ami du Malin.

 

11 août 2012

bebe

Bébé !

 

Douce et tendre mère

Qui épousa un tel père.

Fraiche et jeune maman

Si fière de son Premier enfant.

Voici enfin arrivée le jour attendu,

Ou tout climat semble détendu,

Pour accueillir petit détenu,

Et lui souhaiter la bienvenue.

La petite créature voyait ainsi le jour,

Pénétrant ainsi dans la grande cours.

Toute heureuse, suante elle rayonnait.

Languissante, fatiguée, elle souriait,

Ecoutant cette fine voix qui hurlait.

Comble de bonheur, belle vie,

Nombreuses comme elles en ont envie.

L’arbre humain venait de produire son fruit

Et cette liesse en nous, a luit.

Tant de peine, de larme délivrant la créature,

Un plaisir responsable devenu mature.

Son regard aux yeux fermes a l’air câlin,

Et l’on se bat pour lui créer un climat sain.

 

Que sera demain cet innocent petit saint,

Qui pourrait devenir ami du Malin.

 

31 juillet 2012

Marmite Sacree

Je vous raconte cette histoire que voici:

 

Une fois au royaume Mosse,

Habitait un jeune Gurunga,

Avec qui on n’en avait jamais assez,

Toujours assis devant le grand ‘Gunga’.

Par fini, il fut remarque par le Souverain Naaba,

Qui, au lieu de le laisser trainer si bas,

Se décida a lui confier, un secret, un appât.

Sans le vouloir, il échoua d’un seul pas.

Il lui aurait confié une historique Jarre Sacrée

Qui malgré son aspect scintillant et doré,

Contenait bien d’étranges choses,

Pouvant servir à toutes les causes.

On y trouvait tous les mots du Royaume

Pouvant effacer toutes ces concession en chaumes ;

Même si tout au fond de ce grenier sans clémence,

Les dieux y avaient caché une lueur d’Esperance.

Apres bien d’années, sans aucune réclamation,

Notre monsieur, voulut profiter de l’occasion.

L’ouvrir restait la seule clause d’interdiction,

Alors que le temps avait tué cette prohibition.

Etant convaincu qu’on en reparlerait plus,

La Jarre fut ouverte et le mal, avec averse plut,

Et Tous furent profondément atteints,

Et la lueur de l’Esperance changea leur teint.

27 juillet 2012

Mon Pays, le Burkina

MON PAYS

 

Ici au Faso on n’envie personne,

Même si la mondialisation sonne,

Dans nos oreilles et nous envahit.

Ces grands nous ont en effet trahis.

Ici en Afrique, notre avion c’est l’âne,

Et donc, on ne parle plus de panne.

En matière d’essence, c’est du foin,

Et on en a partout dans les coins.

Parlant de train, on a nos charrettes,

Voyage assure sans aucune collision.

C’est vrai, on ne gagne pas de miettes,

Mais on convoie toute livraison.

On a de grands fleuves non avides,

Ou circulent toutes ces héroïques pirogues,

Qui bien sûre ne sont jamais vides,

Avançant malgré ces difficiles vagues.

On est fier de notre pays enclave,

Souffrant de ce mal européens

Qu’ils nous ont contamine tout serein,

Et voici qu’on est bien en larvé.

 

Publicité
26 juillet 2012

Haine de couleur

Haine de couleur

 

Depuis Adolphe Hitler, le meurtrier

A nos soi-disant hypocrite pionniers

De notre ère abritant ce new-racism,

Indexant l’un l’autre de terrorisme,

Sévie cette véritable haine de couleur

Qui ne cessent d’approfondir nos douleurs.

Elle persiste malgré tous ces labeurs

Allant contre ces fausses rancœurs.

A ne voir que cela, j’ai parfois peur,

Qu’un inévitable et mortel malheur,

Ne déferle sur nous, frères et sœurs.

A bas ces esprits agressifs et vengeurs.

J’espère qu’un jour, finiront ces différences,

Le même sang bien rouge sous nos peaux

 Effaçant ces historiques malsaines déférences.

Pour tous, après la chaire viennent, nos os.

Nos parents nous maintiennent divises

Et toutes ces richesses d’alors visées,

Nous ont asservis sous cette visée.

Tous on a la même essence, tous rusés.  

Publicité
THE TEARS OF THE POOR
Publicité
Archives
Publicité